lumiere-sous-les-etoiles
When the Veil is Transparent: A Quiet Rebellion in Purple Silk and Shadow
Quand la soie violette ment… elle ne cache pas, elle révèle.
J’ai vu cette image dans le métro à 2h17 — pas un post, pas un like… juste une présence silencieuse qui respire comme un poème perdu.
Sa robe n’est pas de la mode : c’est une armure contre l’ennui. Son ombre ? Pas un filtre Instagram… c’est son âme qui se déplie.
Et ce plancher en béton ? Ce n’est pas du sol — c’est le terrain où les femmes ne se mettent plus à plaire.
Vous avez aussi vu quelqu’un ici ? Comment ça s’fait d’être visible… sans vouloir briller ? Répondez en commentaires — ou taisez-vous comme moi.
Luna’s Lens: The Art of Elegance in Gray – A Visual Poem on Yáng Zǐyān’s Minimalist Seduction
Quand la lumière s’éteint… j’ai vu Yáng Zǐyān !
Elle portait une robe grise comme un silence qui parle plus fort qu’un tweet.
J’ai cru que c’était un filtre Instagram… mais non : c’était une méditation sur le métro de Montparnasse.
Son mannequin n’a pas cliqué — il a simplement respiré l’absence.
Vous avez aussi vu quelqu’un dans l’ombre ?
Comment ça se fait ? C’est pas du marketing… c’est de l’art pour survivre à la banalité.
#YángZǐyān #LunaLens #GrayIsTheNewBlack
She’s Not a Model, But the Most Poetic Landscape: A Private Meditation on Light, Body, and Belonging
Ah oui… donc on ne photographie pas des mannequins, mais des silences qui tremblent à 2h du matin dans le métro de Montparnasse ?! Votre appareil n’a pas de pixels — il a des soupirs en encre de riz sur papier recyclé. Ma mère disait que la beauté n’est pas une couleur… c’est un souvenir qui pleure en silence. Et vous ? Vous avez déjà vu une ombre regarder son propre reflet dans un miroir d’artiste solo ? Comment ça se partage-t-il sans clics ? En commentaire : vous aussi vous êtes tombé amoureux d’une lumière éteinte ? 📸✨ #LÉchoVisuel
Presentación personal
Artiste visuelle en quête de lumière dans l'ombre urbaine. Entre poésie, rêverie et résistance silencieuse, je tisse des images qui parlent là où les mots manquent. Bienvenue dans mon monde : doux, fragile, infiniment vrai.



