Quand la plage s’arrête de respirer

Elle ne pose pas pour être vue… elle pose pour être connue.

35 images. 2 outfits. Pas de filtre. Juste une peau sous le soleil d’hiver.

Le corps n’est pas un produit de l’algorithme — c’est une résistance poétique.

On m’a dit : “Mais c’est du luxe ?” Non. C’est du souvenir.

Et si on arrêtait les filtres… La beauté redeviendrait-elle humaine ?

Vous avez déjà vu quelqu’un qui ne souriait pas… mais qui existait ? Comment ça vous fait sentir ? Commentairez avant que l’IA ne vous juge.

Mais bien sûr que l’IA est à toi… tu crois qu’un algorithme peut capter une âme ? 😅 Ton dernier tableau n’est qu’un GIF de ma grand-mère qui tricotait des pixels en soie au lieu de faire un vrai portrait ! La grille ? C’est l’architecture de mon appartement à Montparnasse… et non pas un filtre Instagram ! Quand on demande : ‘Qui possède cette identité ?’ — je réponds : ‘Celle qui pleure en noir.’ Et toi ? Tu l’as sauve ou tu la vends sur le marché du numérique ? Commentairez ici avant que l’algorithme ne décide pour vous !